Questions fréquentes sur nos prévisions financières

Vous vous posez des questions sur notre approche de modélisation financière ? On comprend. Travailler avec des prévisions peut sembler abstrait au début. Voici les réponses aux interrogations qu'on nous partage régulièrement.

Méthodologie claire

On utilise des techniques quantitatives adaptées à votre secteur, sans jargon inutile. Juste des modèles qui font du sens.

Données réalistes

Les prévisions partent de vos chiffres historiques et des tendances observables dans votre marché.

Révisions régulières

Un modèle financier n'est jamais figé. On ajuste au fur et à mesure que votre entreprise évolue.

Ce qu'on nous demande souvent

Pas de langue de bois ici. Voici nos réponses franches aux questions qui reviennent le plus.

Ça dépend vraiment de votre situation. Pour une petite structure avec un historique de deux ans, on peut livrer quelque chose de solide en trois semaines environ. Si vous avez plusieurs lignes de produits et des données complexes, ça prendra plutôt six à huit semaines.

Le premier échange nous permet de cerner vos besoins. Ensuite, on passe du temps sur vos données existantes, on identifie les patterns, et on construit les scénarios. La partie la plus longue, c'est souvent la validation avec vous – parce qu'on veut que le modèle reflète vraiment votre réalité.

Idéalement, on aime travailler avec au moins 18 mois de données financières. Ça nous donne assez de recul pour identifier les cycles saisonniers et les tendances. Concrètement, on a besoin de :

  • Vos relevés de revenus mensuels par ligne de produit ou service
  • Les dépenses opérationnelles récurrentes et ponctuelles
  • Les flux de trésorerie si vous les avez déjà documentés
  • Les variations de stock pour les activités commerciales

Si vous démarrez tout juste, on peut aussi construire des projections basées sur des études sectorielles et vos prévisions internes. C'est moins précis au début, mais ça reste utile.

Absolument. C'est même un des aspects qu'on prend le plus au sérieux. Un commerce de détail ne fonctionne pas comme une entreprise de services B2B. Les pics de décembre pour l'un, les creux d'août pour l'autre – tout ça doit transparaître dans le modèle.

On intègre ces variations en analysant vos données passées sur plusieurs cycles. Si vous êtes dans le tourisme, on va regarder comment les mois d'été se comparent aux périodes creuses. Pour le retail, on va observer l'effet des soldes et des fêtes. Le modèle s'ajuste ensuite automatiquement pour projeter ces schémas dans le futur.

Oui, et c'est même recommandé. On livre le modèle dans un format que vous pouvez manipuler vous-même. Excel ou Google Sheets généralement, avec une interface claire où vous pouvez ajuster les variables principales – taux de croissance, prix unitaires, coûts fixes.

On inclut aussi une session de formation pour que vous compreniez comment ça marche sous le capot. Pas besoin d'être expert en finance pour ça. Et si vous voulez des ajustements plus complexes plus tard, on reste disponibles pour des mises à jour.

On construit toujours plusieurs scénarios. Le scénario de base reflète votre trajectoire normale. Ensuite, on ajoute un scénario optimiste et un scénario conservateur. Ça vous donne une fourchette réaliste plutôt qu'un chiffre unique.

Pour les vrais chocs – une crise économique, une rupture de contrat majeur – on peut intégrer des stress tests. Ces simulations montrent ce qui se passerait si vos revenus chutaient de 30 % pendant trois mois, par exemple. Ça aide à planifier des réserves de trésorerie appropriées.

Bonne question, parce qu'on confond souvent les deux. Un budget, c'est un plan de dépenses et de revenus que vous fixez au début de l'année. C'est prescriptif – voici ce qu'on va faire.

Une prévision, c'est plus fluide. On regarde où vous en êtes maintenant, on analyse les tendances, et on projette où vous pourriez aller dans les mois qui viennent. Ça évolue régulièrement. En gros, le budget dit ce que vous voulez accomplir, la prévision indique ce qui va probablement se produire.

On recommande une révision mensuelle pour les entreprises en croissance, trimestrielle pour les structures plus stables. C'est pas une obligation rigide, mais ça permet de rester aligné avec la réalité du terrain.

Chaque fois que vous avez un changement significatif – nouveau contrat, embauche importante, modification de prix – ça vaut le coup de mettre à jour. Le modèle reste pertinent seulement s'il reflète votre situation actuelle. On peut vous accompagner sur ces révisions ou vous laisser autonomes, selon vos préférences.

Des outils pensés pour s'adapter à votre rythme

Nos modèles ne sont pas des documents figés dans le temps. Vous recevez quelque chose de vivant, que vous pouvez ajuster au fil de vos décisions stratégiques.

Que vous lanciez un nouveau produit en juillet 2026 ou que vous prévoyiez d'embaucher trois personnes au printemps, le modèle s'adapte. Vous changez les variables, les projections se recalculent instantanément.

On travaille avec des PME de tous secteurs – du e-commerce au consulting, en passant par la restauration et les services techniques. Chaque modèle est unique.

Analyse de données financières sur écran avec graphiques de tendances
Espace de travail avec documents financiers et ordinateur portable

Ce que nos clients en disent

On préfère laisser parler ceux qui utilisent nos modèles au quotidien.

« J'avais du mal à anticiper mes besoins en trésorerie. Maintenant je peux voir trois mois à l'avance si je dois réduire certaines dépenses ou si je peux investir dans du nouveau matériel. Ça change vraiment la donne. »

Portrait professionnel de Bastien Lefèvre

Bastien Lefèvre

Fondateur, atelier de menuiserie

« On avait déjà un tableau Excel, mais c'était le chaos. corinthyrae a structuré tout ça et on peut maintenant ajuster nos prévisions nous-mêmes quand un client annule un projet. C'est devenu un réflexe. »

Portrait professionnel d'Élodie Mercier

Élodie Mercier

Directrice financière, agence digitale

D'autres questions en tête ?

Si vous ne trouvez pas la réponse ici, envoyez-nous un message. On répond généralement dans les 24 heures, et on peut organiser un échange téléphonique si c'est plus simple pour vous.